Earth Observation to Support Marine And Coastal Areas Management in North and West Africa (MarCNoWA)
GMES et l’IRHOB conjuguent les Efforts pour une Protection Durable des Oceans
Get link
Facebook
Twitter
Pinterest
Email
Other Apps
-
Observation des baleines sur la côte béninoise
Les 24 et 25 septembre 2020, s'est tenue au large de la côte béninoise, une visite en mer. Cette initiative émane de l'Institut de Recherche Halieutique et océanologique du Bénin (IRHOB), avec l'appui du programme "GMES et l'Afrique". L'objectif principal de cette visite, est d'observer les baleines en mer. Cette activité va au profit des membres du club "GMES et Afrique Bénin" dont All For Science ONG, un creuset de jeunes journalistes scientifiques, est membre. Elle a d’ailleurs connue la participation des étudiants et de quelques cadres de l’IRHOB.
«L'observation de la Terre n'est pas nécessairement l'observation de la terre ferme, l'observation de la mer, des plants d'eau, fait partie aussi de l'observation de la terre», explique Docteur Zacharie Sohou, Océanographe, Directeur de l'Institut de Recherche Halieutique, Océanologique du Bénin. Selon lui, «c'est pour aller observer les baleines, et en même temps faire un baptême de mer aux participants» que l’activité est initiée. Aussi, va-t-elle permettre une connaissance et une familiarisation avec les ressources marines. Les océans occupent près de 75 % de la surface de la Terre. Ils renferment de nombreuses ressources exploitées par l'homme. Celles-ci sont utilisées pour l'alimentation ou pour fournir de l'énergie et des matériaux. Alors son importance est capitale.
A en croire les explications données par le Docteur Christian ADJEI, océanographe, chef service valorisation des résultats de recherche de l’IRHOB, lors de la visite, la période de juillet à octobre est celle propice pour observer les baleines en mer, car c'est leur saison de reproduction. Au Docteur Zacharie SOHOU, de décrire la scène qu'observe les participants en ces termes «Comme vous voyez, les deux se suivent», pour faire comprendre davantage le spectacle qu'offre les baleines. Il poursuit en disant : «Les gestes des baleineaux se remarquent à la suite de sa mère. En réalité, elle quitte les zones tempérées pour mettre bas dans les zones tropicales. Elles prennent un mois ou deux pour entrainer leurs petits».
Cette activité touristique en mer, a reçu l'accompagnement du programme GMES et Afrique. Comme toujours il accompagne, les initiatives du continent qui entrent en ligne droite avec ses objectifs à savoir, promouvoir une gestion plus durable des ressources en eau, ressources naturelles, maritimes et côtières en améliorant le processus décisionnel et fournissant des informations pertinentes supplémentaires. Il s'agit, d'un programme d'observation de la terre de l'Union Africaine établi conjointement avec l'Union Européenne. Il est conçu, pour renforcer les capacités en Afrique en vue de l'exploitation et de l'utilisation optimale des systèmes, données et technologies d'observation de la terre pour le développement durable du continent.
C'est l'occasion pour les participants, de remercier l'IRHOB et "GMES et Afrique". «Grand merci à l'IRHOB et à GMES et Afrique, qui nous a permis de faire cette immersion en mer pour la première fois, nous avons fait des découvertes très intéressantes vraiment», déclare très ému, Jeanine Akoakou, une participante.
Selon Charlotte Ezèbada, membre de All For Science, ayant participé à la sortie, le spectacle des baleines en mer était époustouflant. Elle soutient aussi, que ses impressions au détour de ce périple au large de la côte béninoise sont très bonnes. Car, «c'est la première fois que je suis arrivé en mer et j'ai vu les baleines de plus près», a-t-elle dit.
Pour rappel, All For Science est un creuset de jeunes journalistes scientifiques béninois, engagés pour la cause de la recherche scientifique en général et pour la cause de l'environnement en particulier. Depuis la célébration de la journée mondiale 2020 des océans, organisée par le programme "GMES et Afrique", ce creuset s'implique aux côtes de l'IRHOB pour la protection des océans.
La sortie en mer initiée par l'IRHOB et soutenue par GMES et Afrique est selon Martin AGOUSSAN, un travail scientifique, au-delà d'une simple balade en mer. Directeur de la coopération universitaire et scientifique, il estime que ses attentes ont été comblées parce que dit-il, «j'ai pu regarder de visu les baleines en parade et je suis très émerveillé». Cette activité s’est tenue en deux jours.
L'IRHOB est l'une des 8 institutions partenaires du consortium dirigé par l'Université du Ghana, qui contribue à la gestion des zones marines et côtières en Afrique de l'Ouest en utilisant l'observation de la Terre, dans le cadre du programme "GMES et Afrique". La vidéo complète de l'observation des baleines est disponible ici:https://youtu.be/UJI8uSxn8rA .
Giraud Togbé Correspondant francophone de UG-GMES en Afrique de l'Ouest
The call was made by the Greater Accra regional branch of the Canoe and Gear Owners Association of Ghana during the Safety at Sea campaign organised by the Marine and Coastal Areas Management in North and West Africa’s consortium (MarCNoWA). Group picture with the leadership of the regional branch of Canoe and Fishing Gear Owners Association of Ghana, Greater Accra The ocean state forecast service provided to beneficiary countries is one of the flagship services of the MarCNoWA consortium under the GMES and Africa Project Phase II. The service provides information and ocean state maps to protect lives and property at sea from bad weather. In Ghana, information on the ocean state has been accessed more than 100 000 times via the short code *920*88# since its inception in phase I of the project. The shortcode was developed by the University of Ghana which is the lead of the consortium. At the palace of the Chief fisherman of the Moree fishing town in the Central region of Ghana To e
Abandze, a coastal fishing community in Ghana, celebrated its festival last week with the apotheosis on the 5th and 6th of November 2022. The purpose of the yearly festival is to cleanse, thank and mobilize resources for developmental projects within the community. A team of fishers ready for the regatta, Abandze Being made of strong fishing community groups (canoe and gear owners, women investors, fishermen, fishmongers, and their dependencies), the people of Abandze called upon the GMES and Africa project to support and address the celebrants during a durbar and also the regatta (canoe race) that marked and end the festival. The gatherings served as mediums to promote the safety at sea campaign. A section of the gathering during the durbar, Abandze The MarCNoWA consortium of the GMES and Africa Project supported the organization of the durbar, the mobilization of funds for community development, and the canoe race with visibility materials such as branded shirts, flyers, posters, a
Earth Observation (EO) science is a rapidly growing field, crucial in understanding and addressing some of the world's most pressing environmental and societal challenges. However, despite its significance, African women are underrepresented in this field, facing numerous barriers that limit their participation and success. According to a recent study by the European Space Agency, women make up only 28% of the Earth Observation workforce globally, with even lower representation in leadership positions. In Africa, women are particularly underrepresented in earth observation science and related fields such as geography, remote sensing, and geoinformatics. The African Women in Science and Technology Network (AWSTN) report found that only 15% of students enrolled in Earth Observation science programs in Africa are women. Also, a study by the United Nations Economic Commission for Africa (UNECA) found that women are significantly underrepresented in Earth Observation in Africa, with onl
Comments
Post a Comment